work, coffee and no holidays (hermès)

work, coffee and no holidays.
hermès && zoëlia.

Tu n’allais guère te plaindre de ta vie sentimentale désertique, de toute manière, tu préférais te consacrer à tes études. C’était plus important et si jamais tu devais rencontrer quelqu’un, tu ne voulais en aucun cas forcer les événements. Tu avais assez donné niveau refus pour en subir de nouveau. Puis être célibataire, c’était bien non ? « Tu as intérêt, je te conseille de lui mettre en laisse pour l’attacher à toi. » dis-tu avec un petit sourire. Puis, tu secouas la tête et doucement, tu posas une main sur son épaule comme pour le rassuré. « Hééé, ce n’est pas grave, je te rassure. Je m’en porte plutôt bien même si ça rends mes week-ends bien moins excitants que les tiens. Je trouverais bien quelqu’un un jour qui me conviendra, je lui laisse le temps de venir. » Tu souris avant d’ajouter. « Mais pas trop longtemps non plus…, je ne voudrais pas perdre patience. Mais merci, t’es adorable. » Tu continuerais d’arborer ton sourire, peut-être que tu étais juste décidée à passer le restant de ta vie seule, te consacrant uniquement à ton futur métier.

work, coffee and no holidays.
hermès && zoëlia.

Tu ne peux t’empêcher de sourire en le voyant bailler de nouveau, décidément tu te demandais comment il avait pu tenir toute la journée sans bailler. Il faut croire que cette pause devait lui faire du bien ou au contraire l’endormir encore plus. Tu ne pus t’empêcher de faire une moue déçue lorsqu’il t’annonça qu’il n’était pas en couple avec cet individu. Moue qui fut vite remplacée par de la surprise. « Attends Noam ? Un grand brun canon avec un nom pareil, j’en connais un moi ! » Trop de coïncidences d’un coup. « Si je me trompe pas, je crois que tu as couché avec mon meilleur ami. » Tu ne savais pas si tu étais contente de voir de tes amis les plus proches se rapprocher ou au contraire être légèrement dégouté en imaginant maintenant les relations intimes de ton géant Noam. « Heureusement que tu es là oui ! » dis-tu avec un grand sourire. Au moins, à défaut de trouver quelqu’un, tu pouvais toujours compter sur tes amis et c’était ça le plus important à tes yeux. « Oui, il faut croire que les bizuteurs ont des idées un peu trop loufoques et veulent vraiment effrayer les nouveaux... Après à mon avis, je suppose qu’ils veulent juste les tester, voir s’ils sont vraiment dignes ! Ne m’en parles pas, je devais hurler en plein parc que les Merton sont les meilleurs ! Ce qui est totalement vrai ! »