T'as tronche me revient vraiment pas (malec), Sam 22 Oct - 4:56
Malec & Tessa
T'as tronche me revient vraiment pas.
Encore une soirée où tu dois le retrouver. Tu sais que tes prochaines heures vont être horribles. Ton projet avance guère et tes nerfs commencent à bouillir. T'as beau faire des efforts c'est jamais assez. Pourtant tu prends sur toi. Oh ça oui ! Sinon tu l'aurais déjà envoyer bouler, parole de Tessa Wayne. Mais lui. Cet abruti, cet idiot de première, tu ne peux pas. Sans lui t'es perdue. Et juste à cette idée, tes muscles se contractent et tu te maudis intérieurement. T'aurais pu aller vers n'importe qui mais t'as choisi ce spécimen sorti tout droit d'un film Spielberg. Même des extraterrestres seraient plus humains. Lui ? Ce n'est autre que...« Malec, t'es où bon sang ? On avait rendez-vous à 18h ! » Tu l'écoutes se plaindre à travers ton téléphone avant de lui raccrocher au nez. Tu tapotes nerveusement du pied, commençant à perdre patience. Toutes les minutes, tu guettes ta montre ainsi que la porte de la salle où tu te trouves. Le tutorat, l'endroit où vous pouvez bosser tout en vous engueulant. Vous avez déjà essayé la bibliothèque mais en quelques minutes on vous a viré. Disons qu'au lieu de parler, vous avez pris un mode différent : hausser le ton (il faut bien se faire entendre non ?). Tu regardes les autres élèves autour de toi, un regard déprimé. En plus d'un con t'as pris un retardataire. Le combo parfait. Génial. Tu sors ta pochette avec ton projet à l'intérieur avant de le voir arriver le pas nonchalant et les mains dans les poches. Tu recules violemment ta chaise qui grince contre le sol et le pointes du doigt. « Non mais t'es sérieux là ? Ca t'arrives d'arriver à l'heure dans ta vie ? » Tu sais qu'il est aussi content que toi d'être ici. Mais dans ta tête, la seule pensée qui te vient à l'esprit est plus vite vous terminez, plus vite vous vous séparez...(ainsi que les possibilités de le tuer). La poisse.
Re: T'as tronche me revient vraiment pas (malec), Sam 22 Oct - 17:53
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Franchement, si elle ne apportait pas de bouffe, il ne serait jamais sorti de sa chambre pour aller la rejoindre à cette foutue salle de tutorat. Malec en avait marre de devoir lui répéter toutes les trente secondes la même chose parce qu’elle passait plus de temps sur son téléphone avec sa foutue meilleure amie que d’écouter ce qu’il lui déblatérait afin de mener à bien son projet. Une clope à la bouche, il alla prendre son café dans la salle commune des Whadam. Il s’en fout royalement qu’elle attende. Elle n’a jamais eut à attendre une seule fois de sa vie la meuf alors elle allait apprendre avec lui; Il n’aime pas se presser alors même quand elle appelle, il ne répond pas. Il prend son vélo, bon marché, d’occasion bien entendu, et roule en direction de leur lieu de rendez vous. Son téléphone sonne une énième fois et il s’arrête sur le bord de la route pour y répondre. « J’arrive, j’arrive. Et arrête de me harceler comme ça, je déteste ça. » Il avait envie d’être vulgaire quand il lui parlait sur ce ton mais sa mère l’a bien élevé, et il s’est toujours promis d’être un minimum poli même avec les filles qu’il ne supporte pas. Il reprit son chemin, la nuit n’allait pas tarder à tomber sur Oxford. Il n’en revenait toujours pas, même après six ans passées ici, qu’il avait la chance d’étudier dans cette université. S’arrêtant tranquillement devant le bâtiment, mettant son antivol sur le seul moyen de locomotion qu’il avait présentement, il va rejoindre la petite Wayne dans la salle de tutorat qu’ils avaient l’habitude de fréquenter depuis qu’on les avait viré à de nombreuses reprises de la bibliothèque à cause de leur cris. A sa connaissance, Tessa était la seule fille qui l’énervait autant dans sa vie. Et il se demandait bien pourquoi. Parce que en dehors de sa famille et de son horrible caractère, elle n’était pas laide, vraiment pas. Mais elle l’énervait. Elle le rendait fou de rage dès qu’elle ouvrait la bouche. « Oh, tu te calmes là. Je suis pas ton petit chien que tu sonnes dès que l’envie te vient. Je t’aide je te rappelle et je n’y suis même pas obligé. » dit-il en déposant brutalement son ordinateur sur la table. Son ordinateur était la seule chose de valeur qu’il possédait et était essentiel à sa vie vu ses études. « Bon, ton projet, il manque quoi encore ? Le site web, les flyers, et c’est tout c’est ça ? » Il en avait plus que hâte de finir avec cette pimbêche.
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Re: T'as tronche me revient vraiment pas (malec), Lun 24 Oct - 10:45
Malec & Tessa
T'as tronche me revient vraiment pas.
T'aimerais comprendre. Oh ça oui. T'aimerais réussir à comprendre comment une personne peut autant en énerver une autre. Tu n'as jamais ressenti autant de rage et de haine face à quelqu'un. Il te suffit de l'entendre parler, de le croiser, et tu sais qu'en quelques secondes ton coeur bat bien plus vite et tes poings se serrent. Tout comme ta mâchoire d'ailleurs. Tu te demandes même si à force tes dents ne vont pas finir par tomber...Comme à son habitude, Malec arrive en retard. Toi tu poireautes, et ça t'agaces. Alors lorsque tu le vois, avec son allure de "je m'en foutiste", tu lui sautes dessus, verbalement, en prenant bien soin de faire claquer ta langue de vipère. « Dès que l'envie me vient ? Non mais rêves pas mec, j'ai aucune envie de te voir...et ouais t'es pas obligé mais soit content que je paie tous tes frais. Vaut mieux t'inviter au cinéma toi ! » Tu sors de ton sac la bouffe qu'il t'a demandé. Tu n'en reviens toujours pas. C'est un ventre sur pattes. Parfois ça t'arrives de le reluquer et de te demander où est-ce qu'il fout toute cette nourriture avalée. « Je vais moi aussi te le répéter 50 fois mais pour l'instant mon prof veut juste les flyers. Une fois qu'il a validé on peut passer au reste...Et non je n'irai pas plus vite que la musique. J'aime te rendre chèvre.» Tu dessines un sourire forcé avant de rouler des yeux. Ton téléphone vibre et tu l'attrapes à la seconde d'après. Tu entends le jeune homme soupirer alors tu lèves ton index pour l'empêcher de dire quoi que ce soit. Il ne va pas te commander sur tous les points non plus ? Une fois que tu as répondu à ton message, tu relèves ton minois, croises les bras et laisses tes yeux se perdre sur Malec. A chaque fois c'est la même chose, tu énumères tout ce qui t'énerves chez lui. Ses cheveux ébouriffés. Ses yeux noisettes d'une profondeur extrême. Ses fines lèvres qui jacassent horriblement. Sa peau lisse qui te donne envie de le gifler. Ses mains...Ouais y a certainement juste cette partie que tu oserais dire "appréciable" chez lui. Cela fait plusieurs secondes que tu bloquesà le dévisager et quand tu t'en rends compte, tu toussotes légèrement avant de rapprocher ta chaise de lui. « N'y vois aucune tentative d'approche mignonne...si j'pouvais être à l'autre bout de la pièce, j'le ferai.» Tu appuies tes coudes sur la table et déposes ton visage entre tes mains. Tu laisses naviguer ton regard entre l'ordinateur et Malec pour au final te concentrer sur l'écran. Bien plus intéressant après tout.
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Encore une soirée où tu dois le retrouver. Tu sais que tes prochaines heures vont être horribles. Ton projet avance guère et tes nerfs commencent à bouillir. T'as beau faire des efforts c'est jamais assez. Pourtant tu prends sur toi. Oh ça oui ! Sinon tu l'aurais déjà envoyer bouler, parole de Tessa Wayne. Mais lui. Cet abruti, cet idiot de première, tu ne peux pas. Sans lui t'es perdue. Et juste à cette idée, tes muscles se contractent et tu te maudis intérieurement. T'aurais pu aller vers n'importe qui mais t'as choisi ce spécimen sorti tout droit d'un film Spielberg. Même des extraterrestres seraient plus humains. Lui ? Ce n'est autre que...« Malec, t'es où bon sang ? On avait rendez-vous à 18h ! » Tu l'écoutes se plaindre à travers ton téléphone avant de lui raccrocher au nez. Tu tapotes nerveusement du pied, commençant à perdre patience. Toutes les minutes, tu guettes ta montre ainsi que la porte de la salle où tu te trouves. Le tutorat, l'endroit où vous pouvez bosser tout en vous engueulant. Vous avez déjà essayé la bibliothèque mais en quelques minutes on vous a viré. Disons qu'au lieu de parler, vous avez pris un mode différent : hausser le ton (il faut bien se faire entendre non ?). Tu regardes les autres élèves autour de toi, un regard déprimé. En plus d'un con t'as pris un retardataire. Le combo parfait. Génial. Tu sors ta pochette avec ton projet à l'intérieur avant de le voir arriver le pas nonchalant et les mains dans les poches. Tu recules violemment ta chaise qui grince contre le sol et le pointes du doigt. « Non mais t'es sérieux là ? Ca t'arrives d'arriver à l'heure dans ta vie ? » Tu sais qu'il est aussi content que toi d'être ici. Mais dans ta tête, la seule pensée qui te vient à l'esprit est plus vite vous terminez, plus vite vous vous séparez...(ainsi que les possibilités de le tuer). La poisse.
Franchement, si elle ne apportait pas de bouffe, il ne serait jamais sorti de sa chambre pour aller la rejoindre à cette foutue salle de tutorat. Malec en avait marre de devoir lui répéter toutes les trente secondes la même chose parce qu’elle passait plus de temps sur son téléphone avec sa foutue meilleure amie que d’écouter ce qu’il lui déblatérait afin de mener à bien son projet. Une clope à la bouche, il alla prendre son café dans la salle commune des Whadam. Il s’en fout royalement qu’elle attende. Elle n’a jamais eut à attendre une seule fois de sa vie la meuf alors elle allait apprendre avec lui; Il n’aime pas se presser alors même quand elle appelle, il ne répond pas. Il prend son vélo, bon marché, d’occasion bien entendu, et roule en direction de leur lieu de rendez vous. Son téléphone sonne une énième fois et il s’arrête sur le bord de la route pour y répondre. « J’arrive, j’arrive. Et arrête de me harceler comme ça, je déteste ça. » Il avait envie d’être vulgaire quand il lui parlait sur ce ton mais sa mère l’a bien élevé, et il s’est toujours promis d’être un minimum poli même avec les filles qu’il ne supporte pas. Il reprit son chemin, la nuit n’allait pas tarder à tomber sur Oxford. Il n’en revenait toujours pas, même après six ans passées ici, qu’il avait la chance d’étudier dans cette université. S’arrêtant tranquillement devant le bâtiment, mettant son antivol sur le seul moyen de locomotion qu’il avait présentement, il va rejoindre la petite Wayne dans la salle de tutorat qu’ils avaient l’habitude de fréquenter depuis qu’on les avait viré à de nombreuses reprises de la bibliothèque à cause de leur cris. A sa connaissance, Tessa était la seule fille qui l’énervait autant dans sa vie. Et il se demandait bien pourquoi. Parce que en dehors de sa famille et de son horrible caractère, elle n’était pas laide, vraiment pas. Mais elle l’énervait. Elle le rendait fou de rage dès qu’elle ouvrait la bouche. « Oh, tu te calmes là. Je suis pas ton petit chien que tu sonnes dès que l’envie te vient. Je t’aide je te rappelle et je n’y suis même pas obligé. » dit-il en déposant brutalement son ordinateur sur la table. Son ordinateur était la seule chose de valeur qu’il possédait et était essentiel à sa vie vu ses études. « Bon, ton projet, il manque quoi encore ? Le site web, les flyers, et c’est tout c’est ça ? » Il en avait plus que hâte de finir avec cette pimbêche.