Things are not always what they seem #Elios

Aujourd'hui, je devais me rendre à la salle de tutorat. Un endroit qui avait été fait exprès pour les étudiants ayant besoin d'aide avec certaines notions ou pour étudier. Ce n'était pas les professeurs qui offraient de l'aide, mais d'autres étudiants. Ce qui permettait aux universitaires d'être plus confortable et d'avoir une autre façon d'avoir des explications. Enfin, j'allai donc là-bas pour aider une certaine Kathrina avec son Allemand. Certes, je n'avais jamais pris de cours en allemand, mais je le parlais grâce à ma grand-mère paternelle. Puis, la famille de ma mère étant tous suisses, ils parlaient aussi allemand. Donc, j'avais se savoir.

Notre rencontre dura une heure et demi. Je lui expliquai comment certains mots se prononçaient, la construction de phrase et deux verbes. Elle se débrouillait bien. Son accent pouvait anglais paraissait et certains mots étaient difficile à comprendre lorsqu'elle les prononçait. Mis à part ça, avec d'autre petit coup de main, elle sera capable de bien le parler. J'avais confiance. Enfin, nous nous dîmes au revoir et se donnâmes un autre rendez-vous. Lorsqu'elle fut partie, je commençai à ranger mes choses en pensant que j'avais bien choisi ce que je voulais devenir, enseignant. Une feuille tomba de la table lorsque je voulus la prendre.

©S a n i e

J'étais en train de ramasser la feuille que j'avais échappé quand j'entendis mon prénom. Je me relevai la tête vers le son. Il s'agissait d'Elios. Je me relevai donc pour être à sa hauteur. « Où j'étais ? ... Bonne question. Ce qui est sûr, c'est que je n'étais pas mort et enterré. » Cette réponse que j'avais prononcée était à la fois une blague et un pique. Disons que je n'en revenais pas du fait que tous les gens que je connaissais m'aient cru mort. Mes parents n'étaient pas des sauvages. Ils les auraient invités aux funérailles. Elios était mon meilleur ami. Oui, je n'avais pas donné de nouvelle à personne pendant un an. C'était simplement une période difficile et j'avais l'impression d'être mort à l'intérieur. Je pris une inspiration. « Désolé. » Je ne pouvais lui mettre ça sur les épaules. Il n'avait rien fait. Il avait simplement cru Hermione qui croyait sa mère. « J'étais chez mes parents. » J'avais opté pour cette réponse, car je croyais qu'il était mieux de lui répondre de façon physique où j'étais pendant mon année sabbatique.

©S a n i e